Un
million d’économies, mais pour quel avenir culturel et artistique
!
Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles est sur le point de voter en catimini un décret selon lequel les élèves actuellement exemptés (enfants de moins de 12 ans, chômeurs, handicapés…) devront payer un droit d’inscription de 17 € à partir de la prochaine rentrée scolaire.
De toute évidence, nos politiques n’ont pas pesé les conséquences désastreuses de cette mesure irréfléchie :
• Un impôt pur et simple. Pas un euro ne sera réinjecté dans l’enseignement artistique.
• Droit d’inscription = Perte d’élèves.
• Perte d’élèves = fermeture de domaines d’enseignement (car soumis à des quotas)
o Musique,
o Arts parlés,
o Danse,
Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles est sur le point de voter en catimini un décret selon lequel les élèves actuellement exemptés (enfants de moins de 12 ans, chômeurs, handicapés…) devront payer un droit d’inscription de 17 € à partir de la prochaine rentrée scolaire.
De toute évidence, nos politiques n’ont pas pesé les conséquences désastreuses de cette mesure irréfléchie :
• Un impôt pur et simple. Pas un euro ne sera réinjecté dans l’enseignement artistique.
• Droit d’inscription = Perte d’élèves.
• Perte d’élèves = fermeture de domaines d’enseignement (car soumis à des quotas)
o Musique,
o Arts parlés,
o Danse,
o
Arts plastiques, visuels et de l’espace.
• Fermeture de domaines = Fermeture et fusion d’établissements, avec toutes les conséquences sur l’emploi.
• Depuis 20 ans, il n’y a pas de formation artistique subventionnée au niveau de l’enseignement obligatoire. Pour un enseignement artistique de qualité, dispensé par des professionnels, les académies demeurent la seule alternative publique.
• Abandon en masse des élèves défavorisés qui n’iront pas chercher ces cours à quelques kilomètres de chez eux.
• Disparition irréversible d’un facteur reconnu d’intégration, de socialisation et de formation.
• Cela va directement à l’encontre du droit à la culture pour tous.
• Retour à une forme d’enseignement élitiste, adressé préférentiellement aux publics nantis ou cultivés
• Surcroît de travail administratif (ingérable, et qui ne sera pas refinancé) et ce, au détriment de notre mission pédagogique
Nous demandons que cette mesure soit abandonnée et que nos autorités, en charge de l’éducation et de la culture, revoient leur copie afin de promouvoir l’enseignement des arts et de la culture, plutôt que de le saboter.
• Fermeture de domaines = Fermeture et fusion d’établissements, avec toutes les conséquences sur l’emploi.
• Depuis 20 ans, il n’y a pas de formation artistique subventionnée au niveau de l’enseignement obligatoire. Pour un enseignement artistique de qualité, dispensé par des professionnels, les académies demeurent la seule alternative publique.
• Abandon en masse des élèves défavorisés qui n’iront pas chercher ces cours à quelques kilomètres de chez eux.
• Disparition irréversible d’un facteur reconnu d’intégration, de socialisation et de formation.
• Cela va directement à l’encontre du droit à la culture pour tous.
• Retour à une forme d’enseignement élitiste, adressé préférentiellement aux publics nantis ou cultivés
• Surcroît de travail administratif (ingérable, et qui ne sera pas refinancé) et ce, au détriment de notre mission pédagogique
Nous demandons que cette mesure soit abandonnée et que nos autorités, en charge de l’éducation et de la culture, revoient leur copie afin de promouvoir l’enseignement des arts et de la culture, plutôt que de le saboter.
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